IIème siècle avant J.-C. : La Guerre Sainte Entre la déesse Athéna et les déesses Eris et Némésis

La Guerre Sainte contre les déesses Eris et Némésis

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Artiste :
-Trident pour Eris, le chevalier du Sagittaire et la Pomme d’Or
-LadyHeinstein pour les Dryades
-Ikkispartan pour le chevalier du Taureau
-Bluerathy pour le chevalier du Verseau
-Afo pour Némésis, customisé par pavitrata
-Logo officiel de Minecraft
-Logo officiel de Saint Seiya
-Pavitrata pour le montage
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Prologue :

Alors qu’une nuit noire est tombée sur l’Olympe, la déesse Athéna, comme à son habitude, observe le monde des hommes à travers les nuages, soucieuse. Depuis quelques temps déjà, une étoile de mauvais augure planait dans le ciel… et des guerres incessantes se multipliant à travers le monde, ne prédisant rien de bon. Mais alors qu’elle est absorbée dans ses pensées, elle reçut la visite du dieu Hermès. D’abord surprise, Athéna écoutât le message que les autres dieux avait pourtant interdit à leur messager de délivré à la déesse de la guerre : « La terre est menacée à nouveau, ainsi que l’humanité toute entière. Les dieux de l’Olympe resteront neutres dans ce combat. Cette fois le conflit serra tout autre que lors de la dernière guerre sainte, tiens-toi prête, Athéna !».
Ebranlée, la déesse de la Guerre devait prendre une décision. Elle n’était pas retournée sur terre depuis la défaite de Poséidon, et cette fois, ses mystérieux ennemis prendraient le temps de préparer leurs assauts. Elle convoqua sa servante la plus fidèle, celle qui veille de nuit et de jour sur sa déesse, Chouette. Elle lui confiât ses doutes et ses projets, et sa servante lui jura de la suivre dans la mort et dans l’éternité. Cette attitude suffit à Athéna pour effacer ses inquiétudes et prendre sa décision finale.
Voyant bien que rien ne saurais plus calmer la folie des dieux, Athéna fit un choix ultime et sans recours possibles. Dans le monde des dieux, elle n’a jamais connu que la guerre. Si c’est ainsi qu’elle doit vivre, elle préférait le faire au côté des femmes et des hommes de la terre. Résignée, elle entreprit un rituel divin, qu’aucun dieu avant elle n’avait jamais osé tenter. Elle utilisa son cosmos, pour extirpée son âme de son corps originel. Elle créât alors un cercle de réincarnation; cette boucle infini et éternelle, la ferait renaître sur terre, dans un corps humain, tous les deux cent ans, et ce jusqu’à la fin des temps. Mais en contrepartie, elle jamais plus elle ne pourrait briser cette boucle. Son corps resterait désormais sans vie sur l’Olympe, à jamais.
Alors que l’âme d’Athéna quittait l’Olympe et le monde des dieux, elle fut précipitée sur terre, devant l’Athéna Parthénos de la ville d’Athènes.

Chapitre 1 : Une petite fille pas comme les autres

Comme c’est le cas depuis plusieurs siècles à présent, l’acropole d’Athènes abrite en son sein l’armée des chevaliers d’Athéna, ou tout du moins ceux qui vivent en Grèce. Ils vivent une existence cachée des autres humains, se faisant appelé les prêtres de la déesse. Un matin, alors que les premières lueurs de l’aube donnaient au ciel une couleur pourpre, un faisceau de lumière tombât du ciel et traversa le toit du Parthénon, pour atterrir devant la statue d’Athéna. Un nouveau née, une jeune fille, venait d’apparaître, la réincarnation de la déesse de la guerre. On lui donna paradoxalement le nom d’Harmonie, qui semblait être un rêve plus qu’un nom. Comprenant la signification du retour de la déesse sur terre, l’ensemble des chevaliers des quatre-vingt-huit constellations de par le monde, furent rappelés en Grèce. L’armée d’Athéna comprenait alors vingt-huit chevaliers, dont cinq chevaliers d’or.
Durant seize années, elle fut élevée par une prêtresse, qui s’avérait n’être autre que Chouette, sa fidèle servante, réincarnée. Elle vécut la vie d’un humain ordinaire, avec les doutes et les peines, la joie et la tristesse. Elle en apprit plus sur les hommes pendant ces seize années, que pendant des milliers d’années d’existences divines. Avec l’accord d’Athéna, chouette forma l’ordre des Saintia ; des femmes chevaliers, servantes de la déesse de la guerre. Mais les années de bonheur d’Harmonie à Athènes allaient très vite changer.

Chapitre 2 : La Discorde et la Justice Divine

Bien loin de la jeune Athéna et du monde des hommes, dans le mythique jardin d’Eden, deux déesse se réunissent pour finir d’échafauder leur complot. La haine des dieux pour les hommes est telle, que ces derniers compte sur Eris, déesse de la discorde, et Némésis, la déesse de la vengeance, pour mettre un terme à leur existence. Les deux déesses avaient prévu de longue date, une attaque sur la terre. Depuis seize années, la déesse de la discorde avait déchainée ses pouvoirs sur le monde, amenant la guerre et la mort. Dans le temple d’Eris, les vingt-sept Dryades sont enfin réunis. Servantes et filles de leurs déesses, ces guerrières sont revêtues des légendaire leafs, des armures végétales du jardin d’Eden. De son côté, la déesse Némésis avait réussi à rassembler autour de sa personne les vingt et un Telchines, ses enfants. Ces créatures de légendes, sont considérés comme des forgeront aussi puissant que les cyclopes, ayant forgé le trident du dieu Poséidon lors de la Titanomachie. Ils forgèrent pour Eris un trident sacrée, pour Némésis une épée céleste et pour eux et leur déesse, des armures appelés Stolès (habits), fabriqué chacune dans un métal différent. On raconte parfois que celle de Némésis était faite dans un tissu divin, plus solide que les armures d’or. Il n’y avait alors aucune hiérarchie dans leurs rangs, seuls les déesses donnaient les ordres.
Après seize années de complots et de préparations, la déesse Eris, aidé par Némésis, fit en sorte de quitter le jardin d’Eden, pour que son temple voyage à travers les dimensions afin de se rendre dans le monde des humains. Elle choisit de placer son temple près du sommet du Mont Smólikas, en Grèce. La guerre sainte, est sur le point de commencer.

Chapitre 3 : La fin d’une ère de paix

C’est lors d’une nuit aussi sombre que les ténèbres les plus noires, que la jeune Athéna, fut éveillée de son sommeil. Des profondeurs de l’obscurité, une armée d’Ombre lui étaient apparue en rêve, des batailles sanglantes et la terre dévastée, tel était le cauchemar de la déesse de la guerre, encore endormie au sein de cette jeune femme. Preuve était faîte, et nul doute n’était plus possible. Ce rêve, ce cauchemar était une déclaration de guerre, elle en était malgré tout persuadée.
En effet, au Nord-Ouest de la Grèce, les deux déesses alliées, avaient décidée qu’il était plus que temps d’attaquer. Contrairement aux idées reçut, les dieux de l’Olympe ne restèrent pas tout à fait neutre dans la guerre qui se préparait. La déesse Héra permit par exemple à Eris, de se rendre dans le Jardin des Hespérides et d’y prendre une nouvelle fois, une pomme d’or.

Chapitre 4 : L’éveil de la déesse de la Guerre

En moins de vingt-quatre heures, les déesses Eris et Némésis avaient traversées la Grèce, depuis l’Epire, arrivant aux portes de l’Attique, région de la ville d’Athènes. C’est là, que les attendait de pieds ferment, les chevaliers d’Athéna. La bataille éclatât dès l’arrivée des troupes des deux déesses, sans qu’il n’y ait le moindre pour-parler entre les deux camps. Ces combats, qui marquèrent la terre, furent sans contestes plus violent que tous ce que les chevaliers de cette ère eurent connu. Mais, malgré le courage des protecteurs de la terre, ce fut un combat sanglant, une boucherie sans nom pour les troupes d’Athéna. Depuis la création des quatre-vingt-huit armures, jamais les chevaliers des quatre-vingt-huit constellations, n’avaient subi pareille échec. Les deux déesses, Eris et Némésis, causaient des dégâts considérables. Près de la moitié des forces en présence furent décimées, principalement dans le camp de la déesse de la guerre. Partout sur leurs passages, les Dryades et les Telchines détruisent et extermines sans distinction villes et villages, hommes et bêtes.
Devant un tel carnage, la jeune Harmonie qui observait la bataille, fut prise de tristesse, de colère, de rancœur... Tant de sentiments humains, affluèrent tel un déluge, avant de s’estompée d’un seul coup. Elle avait laissé place à la principale valeur d’Athéna, le sens du devoir. La déesse de la guerre s’était enfin éveillée, dans une explosion de cosmos que ressentirent hommes, chevaliers, Dryades, Telchines… Même les dieux sur l’Olympe furent surpris d’un tel éveil. Il est dit que la statue d’Athéna Parthénos, dans le Parthénon, entra en résonnance avec elle ; la déesse de la victoire, Niké, dans la main de la statue, s’envola telle une flèche de lumière pour atterrir dans les mains de la déesse de la guerre, sous la forme d’un sceptre d’or.

Chapitre 5 : L’enlèvement de la déesse Athéna

Maintenant pleinement éveillée, la déesse de la guerre entra sur dans le champ de bataille, avec les chevaliers d’or qui ne l’avaient pas quitté. La présence d’Athéna au milieu des combat, fut l’élément déclencheur de la contre-attaque des chevaliers. Le renfort tant attendus des chevaliers d’or, et la déesse de la guerre combattant à leurs côté, redonna courage aux forces d’Athéna qui purent enfin stopper l’avancé des Dryade et des Telchines. Au cours des combats qui suivirent, les chevaliers ont enfoncés les défenses de leurs ennemies à de multiples reprises, exterminant sans pitié les envahisseurs de la terre et mettant en déroute la réputé invincible armée des déesses alliées.
Mais, dans les pensées d’Eris, la déesse Athéna ne pouvait pas gagner aussi facilement. Elle avait pourtant mis au point une stratégie admirable et conduit ses Dryades avec courage. Alors que les combats faisaient rages, que chaque chevalier, Dryade et Telchines mettaient leur vie en jeu, la déesse de la Guerre se retrouvât devant Eris. Il n’y eu ni combat, ni affrontement, ni échange quel qu’il soit ; La puissance de la pomme d’or de la déesse de la discorde fut telle, qu’Athéna se retrouvât à la merci d’Eris. Sonnant le repli général, les deux déesses alliées quittèrent les champs de bataille, emportant la déesse de la guerre au loin, sur le mont Smólikas.

Chapitre 6 : La flèche de la Justice

Ils avaient repoussée les deux déesses Eris et Némésis, ils avaient repoussé l’armée la plus farouche et déterminée, depuis les marinas de Poséidon. Mais, malgré leurs efforts, les chevaliers avaient été défaits. La déesse Athéna avait été enlevée, sa mort signifierait la fin de la chevalerie et celle de la terre. Le moral sur l’Acropole était au plus bas, personne ne parvenait à établir un plan d’attaque suffisamment efficace. Il restait alors neuf Dryades, sept Telchines et onze chevaliers, en état de se battre.
En désespoir de cause, les chevaliers d’Athéna se tournèrent, une nouvelle fois vers les alchimistes du continent de Mu. Pour la première et la dernière fois dans l’histoire, ils modifièrent l’une des quatre-vingt-huit armures des chevaliers, l’armure d’or du sagittaire. A l’origine, il n’était pas prévu qu’elle possède d’arme, mais les alchimistes de Mu lui confectionnèrent un arc d’or, aussi puissant et solide qu’une armure d’or. A tel point en fait, qu’aucune flèche ne pouvait lui convenir. Les unes après les autres, elles se désintégraient devant l’extraordinaire puissance de l’arme.
Voyant là une occasion d’intervenir, un autre dieu brisa sa neutralité dans la guerre. Héra, la reine des dieux, la régente en l’absence de Zeus, avait offert une pomme d’or au camp d’Eris et de Némésis ; et bien soit, Héphaïstos offrirait une flèche d’or au camp d’Athéna. Prenant l’apparence d’un Alchimiste de Mu, il en confectionna une, unique : la flèche d’or du sagittaire, capable d’absorbé une quantité infini de cosmos, de se chargée des sentiments et des espoirs de ceux qui la décoche. La flèche d’or de la justice qui ne manque jamais sa cible. Une flèche d’or, capable de terrasser les dieux, eux même. Personne, par même Athéna n’en sus jamais rien. Seul les Olympiens avaient assistés au spectacle, et alors que certains riaient du tour d’Héphaïstos envers Héra, d’autre regardait d’un œil sombre le dieu des forgerons remettre l’arme au chevalier du Sagittaire, sous l’apparence d’un simple mortel. La déesse du Mariage, elle, semblait sur le point de déclencher une autre guerre sainte, avant d’être rappelé à l’ordre par Hestia.
Armée d’une nouvelle arme, mais surtout d’un nouvel espoir de victoire, les derniers chevaliers en vie, se rendirent en Epire où allait se déroulée l’ultime bataille.

Chapitre 7 : La révélation d’Eris

Vaincu sur le champ de bataille, la déesse Athéna est trainée vers le sommet du mont Smólikas, jusqu’aux pieds d’Eris. La déesse de la discorde jubile, et peine à cacher sa joie de voir ainsi la déesse qu’elle ne peut supporter. Elle enferme Athéna dans l’arbre de la discorde, où la pomme d’or commence à absorbé l’énergie de son âme originel. La douleur est terrible, le cosmos d’Athéna lui est arraché avec une telle violence, qu’elle eut l’impression de mourir, à l’infini.
Alors que les chevaliers s’approchaient du temple, les Dryades et les Telchines, dirigées par la déesse Némésis, attendaient patiemment leur arrivé. Pendant ce temps, Eris, rayonnait de bonheur. Son plan allait enfin s’accomplir, de toutes les façons possibles et imaginables. Depuis des temps immémoriaux, elle avait souhaité être accepté sur l’Olympe, siégée au côté des douze grands dieux… Mais jamais elle ne réussit cela, jamais elle ne put y entrer du temps de Zeus. Alors, lorsqu’Athéna avait obtenu la terre, et qu’un complot divin se mettait en place pour la lui prendre, elle en fit partie. Après tant de temps, son heure allait venir. Grâce à la pomme d’or, personne ne pourrait l’empêché d’accomplir son rêve. La déesse de la discorde, à l’insu de tous, allait absorber les pouvoirs d’Athéna par le biais de la pomme. Lorsque le soleil serra couché, elle possédera la puissance de deux déesses ! Zeus, Poséidon et Hadès ont quitté l’Olympe, Athéna sera enfin morte, elle n’aurait aucun mal à conquérir l’univers tout entier !

Chapitre 8 : La Bataille de Smòlikas

Alors que la déesse de la discorde se perdait dans ses rêves de grandeur, les combats éclatèrent devant son temple. Les derniers chevaliers, se heurtèrent aux Dryades et aux Telchines. On raconte que parmi eux, un chevalier causait des ravages dans les rangs adverses : le chevalier d’or du taureau, Aldébarant. Il fonçait tel un taureau enragé sur les lignes ennemies, pulvérisant tout sur son passage. Malgré les terribles pertes que cela couta, les Dryades et les Telchines furent vaincu, forçant la déesse Némésis à entrer dans le combat. Némésis était une déesse unique. Elle ne prenait pas spécialement plaisir à combattre, elle n’avait rien contre la terre ou Athéna. Elle accomplissait simplement son devoir, en tant que déesse de la juste rétribution divine. Si les dieux estiment que les humains doivent être punis pour leur défiance, leur insolence, leurs défauts de toutes sortes, elle doit les punir.
Malgré leur puissance, les chevaliers d’or et d’argent encore en vie, furent balayés sans difficulté par la déesse de la vengeance. Les uns après les autres, ils furent tous mis à terre par la puissance de Némésis. Alors, voyant que rien d’autre ne pourrait leur offrir la victoire, le chevalier du sagittaire, Stéphane, se décida à utiliser la flèche de la justice. En unissant les cosmos e tous les chevaliers rescapés, il décocha sa flèche en direction de la déesse de la vengeance. A la vitesse de la lumière elle traversa le champ de bataille et se retrouva fiché dans le cœur de Némésis, qui n’eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Dans une explosion de lumière, le corps originel de Némésis fut réduit à néant et son âme regagna le monde des dieux, décidé à ne jamais revenir sur terre.

Chapitre 9 : L’ultime Bataille

Après de longues heures de combats, trois chevaliers d’or et deux d’argent, Gille de Céphée et Brian du lézard, pénétraient dans le temple d’Eris, pour libérer Athéna. Derrière eux, la lumière du soleil faiblissait. La couleur rougeâtre du ciel, semblait refléter les souffrances de la déesse de la guerre. Le dernier ennemi restant était la déesse Eris, une déesse qui réservait des surprises aux cinq derniers chevaliers. Elle les attendait devant l’arbre de la discorde, où reposait la dépouille d’Athéna, à bout de force. Voyant cela, les chevaliers se précipitèrent vers la déesse de la discorde. Mais, à présent bien plus puissante que Némésis, Eris les repoussa sans peine. Depuis de longues heures, la pomme d’or avait transféré à Eris le cosmos d’Athéna. La puissance de la déesse de la discorde était telle, que les armures d’or elle-même ne purent y résisté et furent taillées en pièces. Les deux chevaliers d’argent périrent quelques instants après, par les lames acérés du trident de la discorde.
Dans un ultime sursaut d’énergie, les trois chevaliers d’or du Verseau, du Sagittaire et du Taureau, les dernières rescapées des forces d’Athéna, tentèrent une ultime attaque. Dépourvue d’armure et d’arme, ils unirent leurs cosmos, leurs dernières étincelles d’énergie, pour les concentrés en une ultime attaque. L’énergie phénoménale des trois chevaliers fut telle, que personne sur la montagne d’Eris ne put y survivre. La puissance démesurée de l’attaque réduit en poussière tous sur son passage.

Chapitre 10 : La défaite d’Eris

L’explosion générée par les trois chevaliers d’or fut telle, qu’Eris crut apercevoir le big bang lui-même, pendant un court instant. Après pareil explosion, le corps originel d’Eris a été réduit en poussière, et son âme, intacte mais ébranlée, se remettait difficilement du combat. Alors que l’explosion semblait avoir détruit tous les êtres vivants aux alentour, deux cosmos brillaient encore. Le chevalier d’or du Verseau, protégé de l’explosion par ses deux pairs, se relevait difficilement des décombres. Athéna qu’en à elle, se trouve derrière l’âme d’Eris, la pomme d’or à la main. Elle use de son cosmos, pour emprisonné ce qu’il reste de la déesse de la discorde dans le fruit d’or. Il n’existait nul lieu sur terre pour garder captif une déesse aussi maléfique, alors Athéna la plaça sur la comète Repulse, afin qu’elle dérive à tout jamais dans l’immensité de l’éspace.
Mais la déesse Athéna n’est pas au bout de ses peines. Alors que la victoire était acquise, que tout danger était écarté et que la pomme d’or disparaissait dans les cieux ; les trois moires apparurent sous ses yeux. Les déesses garantes du passé, du présent et du destin prononcèrent alors une terrible prophétie : « Lorsque la pomme d’or de la déesse de la Discorde, chevauchant la comète éparse, déchirant l’éspace, s’abattra sur terre, le monde entier serra en proie à la folie, à la mort et au désespoir. » .

Chapitre 11 : L’Après-Guerre

Après une terrible bataille, Athéna n’a d’autre choix que de ce désincarné. Son énergie divine, absorbé par la pomme d’or, ne lui permet plus de resté sous sa forme humaine. Elle doit quitter son corps pour pouvoir se revenir à nouveau lorsque le moment sera venu. Après avoir pu observer cette guerre, elle comprit tout de même qu’il lui faudrait un quartier général, un lieu sacré qui serait le berceau des nouveaux chevaliers.
C’est dans ce but, qu’elle offrit au dernier chevalier d’or, Atrillus du Verseau, le Μισο-πεθαμένος. Ce pouvoir, normalement réservé aux dieux, permet de se mettre en état de vieillesse simulé. Le cœur humain ralentit alors, jusqu’à battre autant pendant un an, qu’un homme ordinaire pendant vingt-quatre heure. La mission de ce chevalier : créé le quartier général des forces d’Athéna sur terre, pour le retour de la déesse de la guerre.