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 Ier siècle : La Grande Défaite de la Déesse de la Guerre

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Dimitri

Dimitri


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Royaume: Royaume d\'Athéna

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MessageSujet: Ier siècle : La Grande Défaite de la Déesse de la Guerre   Ier siècle : La Grande Défaite de la Déesse de la Guerre EmptyMar 16 Avr - 21:57

La Grande Défaite de la Déesse de la Guerre


Ier siècle : La Grande Défaite de la Déesse de la Guerre Defait10
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Artiste :
-Trident pour le Sceptre
-Saint Seiya The Lost Canvas (la série animée) pour le Sanctuaire
-Saint Seiya Oméga (la série animée) pour Athéna
-ABottle pour le Triton, customisé par Jeremiah
-Logo officiel du serveur par Hypnos
-Jeremiah pour le montage

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Prologue :


Une nuit froide, particulièrement glaciale soufflait sur le royaume de Blue Graad. Caché au cœur d’un temple oublié, se trouvait une urne au lourd secret. Un grondement résonna sous la terre, un cosmos d’une puissance infinie se souleva soudainement. En quelques instants, les eaux s’agitèrent, un raz-de-marée dévastateur s’abattit sur la côte du royaume du grand Nord. L’urne sacrée, scellée depuis maints et maints siècles, fut emportée dans les profondeurs. Alors qu’elle s’enfonçait dans les abysses, un trident se forma dans les eaux et s’abattit sur le parchemin scellant le vase. Enfin, après plusieurs siècles d’emprisonnement, le dieu des mers, l’Empereur des Océans, s’était libéré de sa prison. Loin de s’en conformer, il se rendit sur l’Olympe, d’où il prépara sa terrible vengeance.
Athéna, de son côté, avait ressenti la libération du seigneur des sept mers. Elle qui s’était juré de protéger l’humanité, et ce peu importe le prix à payer, se devait une nouvelle fois de reprendre les armes. Elle avait toujours vaincu par le passé, que ce soit à Athènes, à Troie, lors du retour d’Ulysse ou au cours des précédentes guerres saintes : elle vaincrait, cette fois encore. Une nouvelle fois, elle redescendrait sur terre pour la guerre Sainte.


Chapitre 1 : Le retour du roi des mers


Poséidon, le dieu des océans se réincarna une nouvelle fois sur la terre. Depuis la première guerre sainte, la famille qu’il avait placée sous sa protection, la famille Solo, avaient conquis les sept mers du globe. Malheureusement, à l’aube de cette nouvelle ère, des faux jumeaux furent leur seule descendance. Craignant une querelle de succession, et n’ayant besoin que d’un pour satisfaire Poséidon, la jeune fille fût abandonné sur un rocher de Grèce, faces à la mer en furie.
Poséidon s’empara du corps du dernier descendant des Solo, et attendit patiemment son heure pour lancer son invasion contre la terre. Pendant près de seize ans, il utilisa son cosmos pour reconstruire un sanctuaire et un temple, situé cette fois-ci sous la surface de la mer. La citée sous-marine, Atlantis, garante du trône des sept mers serait sa nouvelle demeure. Ce gigantesque Sanctuaire sous-marin, construit sur les ruines immergées de sa précédente cité-forteresse, s’étendait sous les océans du Globe.
La cosmo-énergie du dieu qui emplissait son sanctuaire permettait d’y respiré comme à l’air libre, les eaux étant retenu pas sept piliers gigantesques, soutenant les sept océans du monde ; ainsi que par un huitième pilier, le pilier central de l’Empire, véritable cœur du royaume de Poséidon et protégé par le propre palais du dieu des océans. Lorsque les sept piliers furent dressés, ils entrèrent en résonnance avec les portes d’Atlantis. La légende raconte que tant que les sept piliers seront dressés, nul être maléfique ne pourra violer l’enceinte de la cité sacrée.
Libérées de leur profond sommeil, les écailles des guerriers de Poséidon s’élevèrent des profondeurs sous-marines. Elles s’envolèrent de par le vaste monde à la recherche de femmes et d’hommes courageux près à défendre et servir le trône des sept mers. Peu à peu, l’armée des marinas se reforma en Atlantis.


Chapitre 2 : Athéna, une déesse de retour du terre


La déesse Athéna, avait prévu de longue date le retour de Poséidon. Ces deux dieux s’étaient toujours querellés depuis des temps immémoriaux. La déesse de la Sagesse, avait ordonné aux survivants de la précédente guerre sainte de construire le quartier général des chevaliers sur la terre. Même sans enveloppe charnelle, la déesse inspira tous ceux qui participèrent aux travaux, pendant près d’un siècle. Caché sur une île inconnue de tous, autrefois déserte ; au cœur d’une chaîne de montagnes infranchissables, s’élevant jusqu’aux nuages : le Sanctuaire d’Athéna, en Grèce. Cerné, de montagnes et de défenses naturelles, il était impénétrable et invisible pour les simples mortels. De nombreuses habitations et aires d’entrainement furent construites pour les chevaliers d’Athéna. Mais la réputation du Sanctuaire venait de surtout de la montagne sacrée, celle-là même dont le sommet abritait le temple d’Athéna. Pour y accéder, il n’y avait qu’un seul moyen : un escalier composé de millions de marches partant du pied de la montagne jusqu’au temple. Douze maisons furent bâties sur cet escalier, chacune d’entre elle abritant l’un des douze chevaliers d’or qui en avait la garde. Enfin, un Gigantesque Palais fut construit entre le Temple d’Athéna et la dernière maison, censé servir pour accueillir les futures réincarnations de la déesse de la Guerre.
Un jour, alors que le soleil déclinait à l’horizon, un phénomène étrange se produisit, sous les yeux des chevaliers présents sur place. Dans la voûte céleste, d’ordinaire si calme, une myriade d’étoiles fila à l’horizon à une vitesse fulgurante et dans toutes les directions. Un rayon de lumière tomba soudain du ciel, s’écrasant sur le temple d’Athéna, au cœur du Sanctuaire. La lumière qui se dégageait de la colonne dorée, était si éclatante que les rayons du soleil ne sauraient égaler. Un symbole, celui d’Athéna, apparut dans les cieux illuminés. La déesse avait souhaitée trouvé un moyen de protéger le Sanctuaire, un moyen de protéger le foyer des chevaliers défenseurs de la planète. Aux extrémités du domaine sacré, une barrière s’éleva de la terre et encercla le Sanctuaire dans une violente secousse. L’impact provoqua une onde de cosmos, se répercutant à travers la terre toute entière. La déesse de la guerre était de retour sur terre.


Chapitre 3 : Haute Trahison !


Pendant seize ans, la jeune Célesta, réincarnation d’Athéna, grandit, élevé par le dernier survivant des chevaliers de jadis, lors de la précédente guerre sainte : Atrillus du Verseau. La chouette, sa fidèle servante s’était également réincarnée peu auparavant, mais par un mauvais coup du sort, en tant que jumelle de l’actuel Poséidon. Elle avait été abandonnée, encore bébé, et finit par périr noyée dans cette ère. Ce mauvais tour était en réalité le fruit de Poséidon et d’Héra, prêts à tout pour abattre Athéna !
En ce temps-là, le Sanctuaire était bien étrange : des évènements surprenants s’y déroulaient. On retrouva un jour, par exemple, un groupe d’aspirants chevaliers massacrés en bordure du domaine sacré ; des chevaliers disparaissaient mystérieusement et à plusieurs reprises Athéna, encore enfant, failli périr dans des accidents suspects au cœur même du palais… Enfin, une crise éclata bientôt au sein des chevaliers d’or.
Au cœur de la nuit, alors que la lune brillait à l’horizon, une silhouette couverte d’une cape noire s’approcha du cap Sounion, près du Sanctuaire. Elle avait dû traverser les douze maisons à deux reprises avant de venir ici avec son trésor. Elle lança à la mer un petit objet doré. Une main, recouverte d’un gantelet d’écaille des mers, sortit de l’eau d’un seul coup et s’en saisit. Cet objet était des plus précieux, une arme primordiale sans laquelle Athéna ne gagnerait pas cette guerre sainte. La déesse Niké, encore figée dans le temps sous la forme d’une statue d’or, fut rapportée à Poséidon par le Général de Chrysaor. Niké se retrouva scellée, au cœur du pilier central de l’empire de Poséidon. Le dieu des Océan avait médité cette guerre pendant des siècles, il était sûr l’emporté.
Lorsque la disparition de Niké fut découverte, une crise éclata de la maison du Bélier à celle des Poissons. Les chevaliers d’or présents, neuf en tout, s’accusaient les uns les autres, eux seuls ayant pu traverser les douze maisons cette nuit-là. Célesta et le chevalier du Verseau ont tout tenté pour démasquer le traître par ruse ou par des pièges, en vain. Mais un jour, celui-ci commit l’erreur d’attenter à la vie du plus ancien chevalier d’or, Atrillus. Ce dernier avait en effet l’apparence d’un vieillard décrépis et n’avait plus revêtu son armure d’or depuis près d’un siècle. Ignorant l’existence du Μισο-πεθαμένος, le traître, le chevalier d’or du Scorpion, Sargas, se téléporta dans la onzième maison du Zodiaque. Un combat s’entama alors entre les deux adversaires, mais la différence de niveau entre les deux combattants ne se fit pas attendre, le chevalier du Scorpion fut vaincu et tué sur le coup.
Après cet épisode, le nom et l’existence de Sargas furent effacés de l’histoire du Sanctuaire. Athéna compris que les douze maisons ne seraient une barrière sûre qu’à l’unique condition ne pouvoir être traversé qu’à pied. Elle entreprit donc avec l’aide de Gaius, le chevalier d’or des Gémeaux, de créer une barrière dimensionnelle autour des douze maisons, du palais et du Temple d’Athéna. Quiconque tenterait de se téléporter depuis l’extérieur du zodiaque d’or, ou d’un bâtiment à un autre, serait violement repoussé par la barrière.
Le traître était démasqué, mais les dégâts provoqués étaient irréparable. Pendant près de cinq ans, il s’était évertué à tuer peu à peu des chevaliers à travers le monde et au Sanctuaire même. Atrillus et Athéna savaient qu’ils avaient mis trop de temps à comprendre de qui il s’agissait. A la veille de la guerre sainte, dix-neuf chevaliers seulement, dont huit d’or, quatre d’Argent et sept de bronze, protégeaient Athéna et la terre.


Chapitre 4 : La grande invasion


Le plan avait fonctionné à merveille, cette fois les forces d’Athéna étaient affaiblies et sans son arme protectrice, la déesse de la guerre ne pourrait déployer toutes ses forces dans la bataille. Poséidon s’éveilla enfin, après seize années de repos. Il revêtit à nouveau les écailles de l’empereur des océans et le trident qui commande aux sept mers. Ce fut là le jour du grand rassemblement, le jour où cinquante-huit Marinas (un amiral, sept généraux, dix-neuf Commandants et trente et un Capitaine, ainsi qu’une gigantesque armée de soldats, s’inclinèrent devant le dieu des Océans.
C’était le grand jour, l’empereur Poséidon déclarait le début de la guerre sainte ! Au même moment, partout dans le monde, des milliers de soldats et officiers Marinas affluèrent sur les littoraux de chaque continent. Partout dans le monde, ils massacrèrent sans pitiés les populations, mirent la terre à feu et à sang. Le dieu des Océans comptait bien prendre sa revanche et purifié cette planète une fois pour toute de la race humaine afin qu’un nouvel âge d’or voit le jour !
Les chevaliers d’Athéna, voyant les massacres perpétré par l’armée de Poséidon n’eurent d’autres choix que d’intervenir. La déesse de la Guerre ordonna le rassemblement de tous les chevaliers au Sanctuaire. La moitié des chevaliers d’or et les quelques chevaliers de bronze et d’argent sont dépêchés sur tous les fronts de par le monde.
En Grèce, la moitié des chevaliers d’or avaient reçu l’ordre de ne quitté leur maison sous aucun prétexte. Athéna déployait tous son cosmos, pour protéger la terre d’éventuelles inondations. Les chevaliers se sont battus avec courage, la postérité le reconnaitra... Malgré tout, malgré leur intervention, malgré tous les plans conçus par Athéna, rien n’y fit. L’armée de Poséidon remporta bataille après bataille, à tel point que les chevaliers sont finalement forcés de se retranché au Sanctuaire. Le dieu des mers était bien décidé à faire subir à Athéna l’humiliation dont il a été victime il y a des siècles de cela.


Chapitre 5 : L’attaque du continent de Mu


Poséidon jubilait. Il avait mis en déroute Athéna, conquis la quasi-totalité de la surface, et bientôt les eaux viendraient recouvrir la planète toute entière. Son armée avait gagné sur tous les fronts, et il ne restait presque plus de chevalier en vie. Il était persuadé d’être invincible, que rien ne saurait l’arrêté.
Le dieu des mers envoya cinq généraux et leurs subordonnés s’attaqué au continent de Mu. Poséidon avait toujours eu en horreur les mortels possédant autant de connaissances et s’étant toujours détourné des dieux. Lors de la première guerre sainte, ce fut l’affront de trop ! Tous ces maudits humains avaient forgé les quatre-vingt-huit armures, en imitant ses écailles qui plus est !
Malheureusement pour le dieu des océans, ce fut une déroute complète. Les guerriers de Poséidon ne mirent pas un pied sur le continent. De puissantes machines, à l’aspect divines, les attaquèrent alors. Des taureaux mécaniques, des soldats d’aciers, des monstres en orichalques imprégné de cosmos et des machines volantes affluèrent de partout, à tel point que les marinas durent battre en retraite vers les profondeurs de la mer.
Sur l’Olympe, les dieux riaient aux éclats en observant la fuite des Marinas…Le soleil, lui-même, aurait arrêté sa course un instant pour observer cette déroute spectaculaire. Héphaïstos, le dieu qui affectionnait particulièrement les alchimistes de Mu, aurait même récompensé ces derniers pour leurs exploits. Poséidon, le dieu qui avait juré de gagné cette guerre, avait perdu cette bataille contre des humains ! Ceux-là même n’avaient qui plus est, reçu l’aide d’aucun dieu. Fou de rage, Poséidon se tourna à nouveau vers le Sanctuaire. L’ultime attaque allait avoir lieu, et rien ne l’arrêterait !


Chapitre 6 : Le chevalier endormi


Athéna n’était pas dupe. Elle avait très bien compris que les dieux avaient complotés sa perte, avant même les débuts de la guerre. La déesse de la sagesse, pour la première fois, ne trouva aucun moyen afin de renverser la situation. La pression exercé par Poséidon était si forte, qu’elle peinait à empêcher les eaux de s’abattre sur terre. Hélas, qui plus est, les nouvelles n’étaient pas bonnes. Les armées de Poséidon étaient en route, passant par la mer et la terre, elles encerclaient le Sanctuaire.
Afin de prévenir d’une défaite plus que probable, Athéna choisit, en fin stratège, de gardé une carte sous la main. Au-delà des douze maisons, cachées sous le palais, se trouve une grotte ancestrale, datant d’avant même la construction du lieu sacré. Là, Athéna fit, sommairement, l’intronisation du futur premier Grand Pope du Sanctuaire. Le chevalier d’or du Bélier, Dachen, fût scellé par la volonté d’Athéna dans un état de sommeil prolongé, protégé par de multiples barrières. Si le Sanctuaire était défait, il ne s’éveillerait qu’à l’aube de la prochaine guerre sainte !


Chapitre 7 : La première bataille du Sanctuaire


Lorsque l’armée de Poséidon pénétra dans le Sanctuaire, elle se retrouva devant les quelques chevaliers de bronze et d’argent survivant. Mais ils ne firent pas longtemps le pois, lorsqu’arrivèrent les cinq généraux de Poséidon. Très rapidement, il ne resta plus aucun chevalier pour défendre les frontières du Sanctuaire.
Alors, un obstacle que nul n’aurait pu prévoir se présenta à eux. Un chevalier d’or avait choisi de prendre les devants. Le chevalier d’or des Poissons, venu de la douzième et dernière maison, prit part au combat. Il aurait pu défaire une grande partie des Marias, mais c’est alors que Poséidon arriva. Le chevalier à l’armure doré ne put plus rien faire, il fut balayé par l’empereur des Océans. Dans une ultime explosion, il fît naître un champ de roses empoisonnés, et emporta près d’un tiers de l’armée ennemi dans sa mort.
Les marias de Poséidon, à présent arrivé aux porte des douze maisons, ont commencé leurs avancé sur l’escalier sacré. La guerre sainte prend un chemin décisif.
Poséidon en personne conduit son armée à travers le zodiaque d’or. Athéna n’abandonnait pas, elle continuerait à combattre tant qu’il lui resterait un souffle de vie. Les chevaliers d’or, en nombre réduit, ont combattus de toutes leurs forces. Bon nombre de Marinas furent vaincu, mais Poséidon balayait tout sur son passage. Du Bélier au Poissons, pas un ne survécu. Un à un, les derniers défenseurs de la terre ont péris. Alors que la maison du Verseau était la dernière défendue, le chevalier d’or qui avait autrefois affronté les déesses Eris et Némésis, les attendait de pied ferme. Il fût terrassé, embroché par le trident de Poséidon, après s’être débarrassé des derniers soldats Marinas, en les gelant au zero absolu.
A présent, Poséidon, l’Amiral du Triton et le dernier survivant des sept généraux des mers pénétraient dans le temple d’Athéna.


Chapitre 8 : La Bataille des dieux


On raconte que lorsque deux dieux doivent s’affronté, la terre tremble, les océans rugissent et les cieux grondent. C’est exactement ce qui se déroulait, à présent. Athéna, revêtu d’une armure étincelante et du bouclier de la justice, face à Poséidon recouvert d’écaille et porteur d’un trident mythique. Le cosmos des deux dieux semblait trop puissant pour être réel. En vérité, Poséidon fut même impressionné. Athéna avait beau être une déesse, lui était l’un des trois grands dieux, maître des mers et des océans. Pourtant, le cosmos de la déesse de la guerre, avec pour seul arme son bouclier, égalait presque le sien. Pour cause, Athéna était prête à tout, même à brûler la propre vie de sa réincarnation, pour remporter ce combat.
Le combat dura des jours… ou peut-être n’était-ce là que des minutes ? Nul ne le su jamais, plus aucun dieu ne quittait des yeux la bataille la plus féroce depuis des siècles. Poséidon n’avait qu’une idée en tête, vaincre Athéna, détruire son cosmos et son âme originelle. Athéna, elle, se retenait. Elle ne voulait pas donné la mort, au corps humain que Poséidon avait investi. Cette bonté d’âme, se retourna contre elle. Utilisant la ruse, elle tenta d’enfermé Poséidon dans l’urne qu’il n’aurait jamais dû quitter. Le dieu des mers ne se fit pas prendre au piège et détruisit l’urne d’un coup de trident. Ce dernier espoir était brisé. Il ne fallut plus longtemps pour que le bouclier de justice vole au loin, dans une ultime attaque du dieu des océans. Cette fois Athéna allait perdre le combat et son existence même.

Chapitre 9 : Le vol de Pégase


Sur l’Olympe, et à travers tout le monde des dieux, les immortels retenaient leurs souffles. Le temps paraissait être suspendu à cet instant. Alors que le trident, animé du pouvoir de Poséidon, se trouvait pointé vers le cœur de la déesse Athéna. Une déesse, pourtant, était tiraillée. Du haut de son trône, elle ne savait que faire. Intervenir serait brisé sa neutralité, et ne rien faire reviendrait à trahir son cœur. Son devoir passerait toujours avant tout, mais elle trouva néanmoins un moyen d’aidé Athéna. Elle envoya sur place un immortel qui se fit une joie de s’envoler. Son messager chevaucha les nuages, les plaines, les montagnes et les valons de Grèce. Alors même que Poséidon abattait son trident, l’âme d’Athéna fût sauvée.
Un corps, mortellement blessé s’écroulait sur le sol du temple d’Athéna, un trident fiché dans son cœur. Athéna était morte. Mais loin d’éclaté de joie, le dieu des mers et ses deux derniers Marinas étaient pétrifiés de stupeur. Là-haut, au-dessus d’eux, un étalon blanc, ailé, filait dans le ciel étoilé. Sur son dos, cramponné à sa crinière, une silhouette lumineuse le chevauchait. Fonçant dans la nuit, les deux immortels volèrent jusqu’à disparaître dans les rayons de la lune. Nul ne sût jamais que cette déesse avait aidé Athéna, et lui avait sauvé la vie.
La surprise laissa rapidement la place à la fureur. La trahison de Pégase envers son père, était impardonnable pour l’empereur des mers. La bataille était terminé, Athéna avait perdu, mais n’était pas vaincu. Elle avait perdu la vie avec la foi, et s’il est une chose plus forte que la mort, s’est bien l’avenir. Le dieu des mers déversa alors toute sa fureur dans le plan qu’il avait préparé.


Chapitre 10 : Le Grand Déluge


Poséidon se désincarna. Il regagnât son corps divin et d’un coup de son trident, déclencha le plus grand déluge qui fut été. En l’éspace de quelques instants, le ciel fut couvert de nuage. Des orages dévastateurs, des pluies torrentiels et des ras de marées destructeurs se déclenchèrent partout sur la terre. Les flots se déversaient ainsi pendant quarante jours et quarante nuits. La terre se recouvrit d’eau, le royaume de Poséidon s’étendit à toute la surface. Seul Noé, Amiral du Triton de l’armée de Poséidon, ainsi que sa famille, purent en réchapper, avec la bénédiction de l’empereur des mers. On raconte aussi que les alchimistes du continent de Mu, avait prévu de longue date la catastrophe, et avait puent se protéger à temps, au désespoir de Poséidon. La Terre fut le théâtre du plus grand cataclysme jamais vue.
A la fin du carnage, le dieu des océans se présenta devant la statue de Niké qui devait le reconnaître comme propriétaire de la terre. Il attendit longtemps, mais rien ne se passa. C’est Héra elle-même qui vint le voir et lui dit ces mots : « Bien que la terre soit à toi, Niké ne pourra te reconnaître tant qu’un espoir du retour d’Athéna subsistera. Poséidon, trouves l’humain qui a survécu, alors seulement la terre sera définitivement tienne ! ».
Alors Poséidon chercha. Il fouilla les ruines de l’ancien Sanctuaire d’Athéna, englouti de fond en comble. Il n’y avait qu’un lieu qu’il ne pût pénétrer, un lieu caché dont l’accès lui était interdit. Il avait beau forcé, enfoncé les parois rocheuses, la barrière restait intacte, et pour cause les murs était couverts de sceaux d’Athéna ; tant de sceaux, que l’eau elle-même était retenu. Qu’à cela ne tienne, le dieu des mers avait de longues années devant lui ! Un jour ou l’autre, la barrière cèderait et alors, enfin, cette bataille prendrait fin.

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