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 Vème siècle : Athéna et Arès, les dieux de la guerre face à face

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Dimitri

Dimitri


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Feuille de personnage
Royaume: Royaume d\'Athéna

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MessageSujet: Vème siècle : Athéna et Arès, les dieux de la guerre face à face   Vème siècle : Athéna et Arès, les dieux de la guerre face à face EmptyJeu 17 Oct - 0:59

Arès contre Athéna : Les dieux de la Guerre face à face


Vème siècle : Athéna et Arès, les dieux de la guerre face à face Guerre10
__________________________________________________________________________________________________________________________
Artistes :
-Trident pour la déesse Athéna
-Overdoor pour Hadès
-Arès Chapter pour le reste des personnages
-Chronos pour le logo du Serveur
-Jeremiah pour le montage

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Prologue :



Depuis des siècles maintenant, la déesse Athéna remportait mains et mains combats pour protéger la terre et ses habitants. Sa récente victoire face aux Géants, échappés du Tartare, l’a fait s’imposer comme protectrice de la terre et des hommes parmi les dieux. A présent, même les plus réticents étaient forcés de reconnaître que les humains avaient gagné une guerre contre des êtres conçus pour vaincre les immortels eux-mêmes. Cette guerre, âpre et cruelle, fut le théâtre de l’une des plus sanglantes batailles de l’histoire de l’humanité. Le continent de Mu avait été complètement détruit et une vingtaine de chevaliers avaient péri, afin de vaincre les fils de la terre, les Géants conçus par Gaïa.

Mais il ne faut pas oublier qui a déclenché ce conflit, qui dans l’ombre, caché du regard d’Athéna, s’évertue à causer sa perte. Celui qui ouvrit les portes du Tartare, celui-là même qui manœuvrait les guerres saintes dans l’ombre depuis des siècles, dans l’espoir d’affaiblir l’armée d’Athéna, et d’assouvir ses dessins. Hadès, le dieu des Enfers, comptait bien s’emparer, un jour, de la terre. Pour cela, il abattit une nouvelle carte, un nouvel ennemi provenant tout droit de l’Olympe.

Il existe un dieu qui ne pourra jamais accepter la déesse de la sagesse comme déesse de la guerre, encore moins la reconnaître comme protectrice de la terre. Si Athéna était la déesse de la guerre juste et intelligente, son frère Arès était le dieu de la guerre sanglante, des combats acharnés et des massacres démesurés sur les champs de batailles : le dieu de la guerre ! C’est un dieu empli de haine, belliqueux, toujours méprisé et rabaisser par ses pairs. Hadès, seul, était capable de comprendre et d’apprécier le caractère du dieu guerrier. Le dieu des Enfers ne se priva pas de murmurer à l’oreille d’Arès, espérant le voir s’attaquer à Athéna. Poussé par les sombres conseils du dieu des Enfers, le dieu de la guerre envisagea d’affronter une nouvelle fois sa sœur, Athéna, entouré cette fois d’une grande et puissante armée.

De tous les Olympiens, il est le seul fils légitime de Zeus et d’Héra. Malgré cela, il n’a jamais été accepté par les autres dieux. Héphaïstos l’avait humilié, Athéna l’avait toujours vaincu et son père, disparut, s’était autrefois tourné vers la déesse de la guerre. C’est bien simple : c’est à elle, et non à lui, qu’il confia la terre. Il y avait mûrement réfléchi, Athéna devrait l’affronter à nouveau, cette fois avec le contrôle de la surface pour enjeux !

Chapitre 1 : Arès, le dieu de la Guerre revient sur terre



En occident et Orient, le Ve siècle est une époque marquée par les guerres et les conquêtes. Le moment était parfait, le contexte idéal pour Arès. Afin de mener la charge contre sa grande ennemie, le dieu de la Guerre descendit sur terre. Cependant, contrairement à Athéna, il ne se réincarnerait pas en bébé, mais s’emparerait du corps d’un être humain. Ce mortel devrait posséder la force des Berserkers mythologiques et le courage du Guerrier. Arès mit un point d’honneur à trouver le guerrier le plus fort de l’époque, un être venant de mourir, s’emparant alors de l’enveloppe charnelle inhabitée, n’ayant pas à lutter pour en prendre le contrôle.

Le dieu de la Guerre revint alors sur terre et de la seule puissance de son cosmos, il a longuement entrepris de construire la Citadelle Rouge, une gigantesque forteresse antique, réputée totalement inexpugnable. C’est depuis cette place-forte qu’il entreprit de concevoir  une armée capable de rivaliser avec celle du Sanctuaire terrestre d’Athéna. Dans sa quête, il fut suivi de quatre dieux mineurs, tous ayant juré de le suivre et de le servir. Ces quatre divinités étaient : Phobos de la peur et de la défaite ; Déimos, de la terreur ; Kère, déesse de la mort sur les champs de batailles et Kydoimos, divinité du vacarme au cœur des combats.

Il se rendit jusqu’au lointain pays du soleil levant, le Japon. Là, il trouva Murasama, un forgeron légendaire. La légende rapporte que ses sabres avaient la particularité d’être imprégnés de force maléfique, d’une énergie si sombre qu’ils tuaient à coup sûr leurs adversaires. Arès lui demanda de fabriquer cent-vingt-quatre protections sacrées, chacune possédant une arme différente. C’est ainsi que n’acquirent les cuirasses, les protections sacrées de l’armée d’Arès. Réputés non pas pour leur solidité, mais pour l’arme qui les accompagnaient, cabales de fendre des Montagnes et résister aux plus grands cataclysmes. Ces protections n’acceptaient comme porteur que le mortel ayant le plus grand maniement de l’arme qu’il recevait.

Le dieu de la guerre rependit son cosmos de par le monde, comme un appel. De par ce signal, des dizaines de guerriers à travers le monde furent attirés par l’irrésistible besoin de se battre. Tous n’avaient plus en tête que le plaisir de combattre et la mélodie des champs de bataille. Tous se rendirent auprès de l’olympien, afin de livrer la plus grande des guerres. Au bout du compte, cent-vingt-quatre guerriers étaient à présent revêtus de Cuirasse et armés pour la bataille et la Victoire. Leur fureur, leur rage et leur désir belliqueux étaient tels, qu’on les surnomma Berserkers, à l’instar des guerriers d’autrefois.

Afin de mettre en ordre tous ces guerriers, le dieu de la guerre les divisa en quatre armées, quatre régiments capables d’apporter le malheur et la destruction. A la tête de chaque régiment se trouvait l’un des quatre dieux au service d’Arès, quatre cardinaux pour diriger ses troupes.

Pour les seconder dans ce commandement, il est dit qu’Arès aurait utilisé son propre sang sur quatre cuirasses. De par ce sang divin, les âmes de quatre de ses Berserkers obtiendraient le pouvoir de l’immortalité ; Thanatos, le dieu de la mort, ne pourrait pas les emmener. A chaque fois que les doigts glacés de l’oubli leur tendraient les bras, leurs âmes reviendraient au côté du dieu guerrier. Ces quatre puissants combattants, qui ne connaissait ni la peur, ni la mort avaient la charge de commander à l’ensemble des Berserkers d’Arès, n’étant supplanté que par les dieux eux-mêmes. Déversant la haine, la mort et le désespoir de par le monde, on les appela les quatre cavaliers de l’Apocalypse, les quatre messagers de la fin des temps.

C’est ainsi que peu à peu, l’armée divine la plus importante de tous les temps vit le jour en Grèce, aux portes du Sanctuaire.

Chapitre 2 : L’ère du Chaos



Les légendes rapportent que cette période de l’histoire a été la plus difficile pour le Sanctuaire et Athéna. Jamais la déesse n’avait dû affronter pareils ennemis, et jamais elle n’avait connu un tel déferlement de rage et de haine. Cette époque prendra le nom d’ère du Chaos, une période de l’histoire où le Sanctuaire a connu ses heures les plus sombres. Sur les cinquante-huit chevaliers présents lors du retour d’Arès, très peu survécurent.

Le Vème siècle. Depuis des temps très reculés maintenant, l’Empire Romain était devenue l’une des plus grandes puissances du monde. Sa domination s’étendait sur l’Europe, mais également en Afrique et jusqu’en Asie. Cependant, aux quatre coins des territoires de Rome, les Empereurs romains ont perdu le contrôle de leurs frontières. Des tribus étrangères s’installent au cœur de l’Empire, tandis que l’armée des Huns, commandée par Attila, continue son avancée à travers l’Asie et l’Europe. Peu à peu, le pouvoir Impériale s’affaiblit et le Chaos s’installe sur les continents.

Pendant ce temps, le Sanctuaire dû faire face à de nombreux ennemis venant des quatre coins du monde. En l’espace de dix ans, Apophis, le dieu égyptien du Chaos, tenta de plonger le monde dans les ténèbres ; Poséidon avait failli être libéré de son sommeil par la traîtrise des dieux des flots ; Verethragna, l’ancien dieu perse de la guerre et de la Victoire a tenté d’enlever Athéna ; les chevaliers noirs s’étaient échappés de l’île de la Reine Morte ; enfin, Arès était revenu sur terre.

Arès, le dieu de la guerre, tire son pouvoir des conflits incessants, des combats meurtriers, des batailles sanglantes... Sa présence sur terre n’est pas étrangère aux tumultes se déroulant dans le monde. Son cosmos fait ressortir ce que l’humanité a de pire. Il encourage la haine, la colère et la rage, déclenche des guerres et fait naître la terreur chez les peuples. Par sa simple présence, la paix s’efface et se cache, le chaos s’installe sur terre, menant des milliers d’âmes innocente vers le sombre royaume d’Hadès.

Dix années après sa victoire face aux Géants, la déesse de la Guerre se douta de l’ingérence d’Arès devant les évènements qui se profilaient de par le monde. L’onde de cosmos de celui-ci, appelant à réunir l’armée de Berserkers, en était la meilleure preuve.

Chapitre 3 : La vague renégate



Au Sanctuaire, l’arrivé sur terre du dieu de la guerre n’est pas passé inaperçu. Depuis le domaine sacré, on pouvait apercevoir la gigantesque forteresse d’Arès, auréolée d’une lueur pourpre, prendre peu à peu de la hauteur. Cette nouvelle menace inquiéta au plus haut point la déesse de la guerre, connaissant le tempérament belliqueux et emporté de son frère. C’était un dieu dénué de bon sens, qui ne respectait que l’honneur du guerrier. Le Sanctuaire s’était remis de la terrible gigantomachie que les chevaliers ont dû mener. Aucun Grand Pope n’avait été nommé pour succéder à Raion, ancien chevalier d’or du Lion, depuis qu’il avait péri face aux Géants. Le chevalier d’argent de l’Autel assurait les fonctions de gouverneur du Sanctuaire, attendant qu’Athéna choisisse son représentant terrestre. Mais, loin, à l’Est, un nouveau conflit menace la pérennité du domaine sacré.

Depuis dix ans, des dizaines de guerriers et apprentis avaient quitté le Sanctuaire pour se rendre sur l’île de la Reine Morte et devenir des chevaliers noirs. Plus d’une centaine d’entre eux furent alors répertoriés par le Sanctuaire, avec parmi eux une femme nommée Arachné. Cette dernière fut la première qui réussit à revêtir une armure du zodiaque noir, celle des Gémeaux. Sa puissance était telle, qu’elle réussit l’exploit de vaincre le Gardien de l’île de la Reine Morte, le chevalier d’argent du Grand Chien. Les gardes du Sanctuaire firent bien vite pâle figure devant cette vague, immense de chevaliers renégats, qui réussirent à quitter l’île de la mort et à se rependre sur terre.

La déesse Athéna due prendre une décision difficile, qu’elle savait regretter un jour. Elle ne pouvait permettre le retour d’Arès, mais les chevaliers noirs, eux, avaient déjà commencé leur marche sur la terre. Détournant son regard de son frère, la déesse de la sagesse envoya ses chevaliers aux quatre coins du monde afin d’enrailler la menace que représentaient les évadés de la Reine Morte.

Apportant mort et destruction, les chevaliers renégats furent rapidement débusquer et stoppés dans leur progression par les chevaliers du Sanctuaire. De violents combats eurent lieu entre chevaliers sacrés et chevaliers noirs. Mais finalement, chacun des ennemis d’Athéna fut défait et leurs armures furent purifiées. C’est après une véritable chasse à l’homme, qui dura près d’une semaine, qu’Arachné, le chevalier noir des Gémeaux, fut finalement retrouvée par le chevalier d’or de la Balance. La renégate avait eu l’imprudence de se rendre dans les confins du monde, dans un lieu si secret que les chevaliers eux-mêmes en ignoraient l’existence. Cette petite île, reste d’un pays aujourd’hui disparu, deviendra bientôt l’île d’Andromède, le lieu où cette terrible histoire avait autrefois prit place. Une ultime bataille fit rage, le chevalier d’or réussissant finalement à vaincre, non sans mal, l’instigatrice de cette attaque de chevaliers noirs.

Au terme de cette première évasion, les chevaliers noirs furent forcés de quitter les territoires des simples mortels et de regagner l’île de la Mort qui les a vus naître. Là-bas, ils demeurent, telle une menace enfouie au plus profond des légendes, attendant leur heure pour ressurgir des profondeurs volcaniques. Athéna nomma un nouveau Gardien à l’île, le chevalier d’argent de la Mouche, afin de perpétuer la prison de l’île de la mort.

Chapitre 4 : la guerre et la peur s’abattent sur le Sanctuaire



Ayant eu vent de l’incident concernant les chevaliers noirs, Arès profita de l’occasion. Son armée avait atteint un nombre insoupçonnable de guerriers, sa puissance paraissait sans limite en comparaison à sa sœur. Et, alors que le monde des mortels était submergé par les guerres et la haine, son pouvoir grandissait plus encore. Lorsque les armées d’Arès furent finalement prêtes et rassemblées autour du dieu de la guerre, celui-ci décida qu’il était plus que temps d’attaquer le Sanctuaire.

Le dieu de la guerre envoya vers le domaine d’Athéna la moitié de son armée, soit soixante-quatre guerriers, commandés par Phobos et Kère, les divinités de la peur et de la mort. La plupart des chevaliers de bronze et d’argent n’étaient alors pas encore de retour au Sanctuaire, toujours aux prises avec les chevaliers noirs. La déesse Kère dressa une barrière autour de l’armée d’Arès. Les Berserkers s’en trouveraient renforcés, même la mort ne saurait les arrêter tant que leurs esprits désireront combattre.

Cependant, à l’œil qui voit tout, on ne peut rien cacher. Alors que les Berserkers d’Arès marchaient vers le Sanctuaire, ils sont repérés par l’un des corbeaux du chevalier d’argent des Corbeaux. Apprenant l’arrivée de cette immense armée, Athéna ordonna à l’ensemble de ses chevaliers de revenir au Sanctuaire. Malheureusement, c’était trop tard. Les troupes d’Arès arrivait déjà en vue du pont sacré, défendu par cinq chevaliers d’argent seulement.

Avant qu’ils n’aient pu franchir le pont sacré, reliant le domaine d’Athéna au reste du monde, il est dit que les chevaliers d’or de la Vierge, des Gémeaux et du Bélier unirent leurs cosmos à celui de la déesse de la Guerre. Devant l’incommensurable armée d’Arès, le Sanctuaire se volatilisa d’un seul coup, dans un gigantesque flash lumineux. Toute l’île sacrée ne laissait plus place qu’à la mer déchainée. Les légions d’Arès semblaient tant décontenancées, que la surprise supplanta leur soif de bataille ; Kère et Phobos seuls comprirent la ruse. Grâce aux pouvoirs des chevaliers d’or, Athéna était parvenue à cacher le Sanctuaire dans une autre dimension, le rendant inaccessible aux Berserkers. Ceux-ci se retrouvèrent pris au piège, entre la mer d’un côté et les trente-huit chevaliers qui avaient été rappelés au Sanctuaire de l’autre.

La véritable bataille s’engagea alors entre les chevaliers d’Athéna et les Berserkers d’Arès, à quelques kilomètres seulement de la ville d’Athènes. Venus des quatre coins du monde, les guerriers à la solde du dieu de la guerre étaient farouches et déterminés. La folie se lisait dans les yeux de ses guerriers, formant la plus terrible armée que la terre est jamais portée. Face à cette immense déferlante de rage et de haine, des chevaliers d’or, d’argent et de bronze s’étaient rassemblé et coupaient la retraite des Berserkers.

Athéna elle-même dû intervenir dès le début des combats, afin de se confronter aux divinités Phobos et Kère qui menaient les légions d’Arès. Bien que mineurs, ces deux divinités n’en était pas moins des dieux puissant sur le champ de bataille, et la déesse de la Guerre elle-même fut prise de difficultés à les combattre. Même désarmés, Kère et Phobos représentaient une grande menace. La simple aura du dieu de la peur faisait naître les pires craintes dans le cœur des hommes, et la déesse de la mort se renforçait un peu plus de cet effroyable carnage, protégeant les Berserkers de la mort elle-même.

Le dieu Phobos, divinité de la crainte et de la défaite était l’exact opposé de Niké, déesse de la Victoire, incarnée dans le sceptre d’Athéna. Sa seule présence paralysait l’arme de la déesse de la Guerre, la rendant inerte. La victoire défait, Athéna se retrouva alors sans défense devant deux dieux, trois chevaliers d’or venant en aide à leur déesse. Ne pouvant utiliser Niké, Athéna fit usage de son bouclier, Aegis, qui apparut dans ses mains alors même que la déesse de la mort s’abattait sur elle. C’est par la lumière sans égale du bouclier confié par Zeus, que la déesse de la mort fut vaincue. L’éclat qu’il dégagea renvoya l’attaque de la déesse et détruisit le corps mortel qu’elle avait emprunté, brûlant son âme et la forçant à s’en retourner vers les profondeurs infernales.

Pendant ce temps, les chevaliers d’Athéna avaient réussi l’exploit de renverser l’équilibre des forces, prenant l’avantage sur les deux régiments envoyés par Arès. Malgré leur nombre et leur ténacité, les Berserkers ne pouvaient lutter face aux chevaliers d’or qui avaient accourus pour les combattre. Ils avaient perdu l’un de leurs commandants, Kère, et le second était toujours aux prises avec Athéna.

Les chevaliers de bronze et d’argent peinaient cependant à encaisser les coups des terribles armes portées par les Berserkers. Les armures sacrées subissaient les terribles assauts des serviteurs d’Arès, recevant de plus en plus de dégâts au fur et à mesure de la bataille.

Le dieu Phobos possédait bien des pouvoirs, sa seule présence faisait naître la peur dans le cœur des chevaliers. Mais tout à changer depuis que le cosmos d’Athéna recouvrait le champ de bataille. La déesse de la Guerre semblait protéger ses guerriers sacrés avec une telle puissance que le dieu qui lui faisait face ressentit, pour la première fois, un sentiment qu’il ne saurait expliquer. Pour la première fois de sa très longue existence, il avait peur. Avec l’aide du chevalier d’or du Capricorne, Athéna réussie finalement à enfermer Phobos dans un tabernacle de couleur pourpre, où il devait reposer pour l’éternité. Cette méthode, utilisée jadis pour vaincre Poséidon, n’en demeurait pas moins la plus efficace pour vaincre les dieux.

Devant l’imminence de leur défaite et privés de leurs chefs, les Berserkers d’Arès quittèrent le champ de bataille et regagnèrent la citadelle rouge, poursuivis par plusieurs chevaliers. Cette première victoire de sa sœur fut un affront sans nom pour le dieu de la guerre. Il était bien décidé à faire payer à Athéna au prix de son sang et de son âme.

Chapitre 5 : Difficultés ! Les Berserkers contre-attaquent !



Après leur terrible débâcle face aux protecteurs d’Athéna, les Berserkers des armées du Feu et de la Calamités s’en retournèrent à la citadelle rouge, poursuivis par Athéna et une cinquantaine de chevaliers du Sanctuaire. Lorsqu’ils arrivèrent à la forteresse, il ne restait presque plus rien des deux régiments du dieu de la Guerre, si ce n’est une poignée dérisoire de guerriers et les cavaliers de l’Apocalypse, seuls capables de faire face aux chevaliers d’or. Cependant, une mauvaise surprise attendait Athéna : les dieux Déimos et Kydoimos l’attendaient, accompagnés des quatre immortels cavaliers de l’Apocalypse, à nouveau réunis, et de leurs deux régiments de Berserkers.

Un violent combat éclata, opposant les chevaliers du Sanctuaire aux Berserkers, toujours plus nombreux et appuyés par les cosmos d’Arès et de Kydoimos qui emplissait le domaine. On raconte que même les puissantes protections sacrées des chevaliers d’or faiblirent très rapidement face aux puissantes armes maniées par les guerriers d’Arès. Bientôt, forcés de se battre avec des armures très endommagées, les chevaliers de bronze, puis d’argent, durent peu à peu reculer devant la vague de Berserkers qui s’opposait à eux.

Le réveil d’Arès avait éveillé l’âme guerrière qui sommeillait au plus profond de la déesse de la guerre depuis des siècles. Jamais, auparavant, une réincarnation d’Athéna n’avait parue si belliqueuse. Cette fois encore, elle due faire face à deux divinités, dans un combat toujours plus acharné. Nul ne sait comment, mais Athéna failli perdre ce combat. Bien que possédant une âme immortelle et des pouvoirs divins, la déesse Athéna demeure réincarnée en tant qu’humaine, avec les émotions et les sentiments qui accompagnent son corps mortel. Le dieu Déimos était parvenu à utiliser cette faiblesse, paralysant de terreur la fille de Zeus, et Kydoimos s’apprêtait maintenant à achever de vaincre l’ennemie millénaire d’Arès. Sur le moment, le temps ralentit son cours. Athéna se remémora la terrible défaite qu’elle endura face à Poséidon… Des bribes de souvenirs et des images se manifestèrent dans son esprit.

Soudain prise d’une nouvelle impulsion, la déesse protectrice de la terre fit brûler son cosmos et, plantant Niké dans le sol, déploya son aura à travers toute la pleine. Au même instant, de l’autre côté du champ de bataille, une flèche d’or fut décochée et fonça, tel un trait de lumière, vers les deux divinités qui allaient vaincre Athéna. Absorbé par le regain soudain d’énergie de son ennemie, Kydoimos fut incapable d’éviter le trait de lumière, et Déimos dû se replier dans une autre dimension pour échapper à la mort. Le dieu du vacarme sur le champ de bataille était forcé de quitter les combats, le cœur transpercé par la flèche de la Justice.

Pendant ce temps, au milieu de la bataille, les chevaliers d’or étaient soumis à de grandes difficultés, confrontés aux quatre cavaliers de l’Apocalypse, immortels serviteurs d’Arès. Le chevalier d’or du Taureau les avait pourtant ensevelis sous terre, et celui du Lion les avait transpercés de toutes par des milliers de fois. Le chevalier du Bélier lui-même pensait les avoir désintégrés. Malgré tout, rien n’y fit, ils étaient indestructibles, immortels. La mort du chevalier du Taureau décapité, suivit par celui des Poissons transpercé par une flèche pourpre et celui du Lion, une épée fichée dans le cœur, marqua le début de la retraite pour Athéna.

Les chevaliers de bronze et d’argent, quant à eux, se retrouvèrent rapidement débordés par la masse impressionnante de Berserkers qui leur faisait face. La moitié des forces d’Athéna avait déjà péri au combat dans cette véritable boucherie. La supériorité des Berserkers tenait en leur maîtrise des armes, interdites aux chevaliers par Athéna. Cette fois, le cosmos ne suffit pas à vaincre et l’armée du Sanctuaire fut encerclée par celle d’Arès.

Chapitre 6 : Une défaite pas totale



La plaine dans laquelle cette bataille s’est déroulée, au pied de l’imposante citadelle pourpre fruit du cosmos d’Arès, ressemblait d’avantage à un champ de ruine. Partout, les corps recouvraient la terre, le sol était rouge du sang des nombreuses victimes. On raconte également que les âmes elles-mêmes étaient tourmentées par l’odeur du sang qui montait à la gorge et asphyxiait l’air. Dans le ciel, le soleil déclinait, depuis des heures maintenant les combats faisaient rage, d’abord au Sanctuaire puis jusqu’ici. Mais il semblait cette fois que la victoire fût sur le point d’être remportée par les Berserkers. L’armée d’Athéna était débordée par le nombre et complètement encerclée par des ennemis dont la soif de combat était sans bornes.

C’est ce moment que choisit Arès, le dieu de la Guerre, pour intervenir dans les combats. La bataille était presque gagnée, Athéna était affaiblie au plus haut point. Il aurait été un jeu d’enfant pour lui de la vaincre, alors qu’elle dirigeait tout son cosmos pour protéger ses chevaliers. Lorsqu’il arriva sur le champ de bataille, revêtu de sa lance et de son bouclier, portant une longue épée à sa ceinture, le chevalier d’or du Sagittaire, qui commandait l’armée d’Athéna, comprit que la bataille était terminée et ordonna la retraite immédiate des chevaliers.

Epuisés, leurs armures en pièces et accablés par le nombre de morts, les protecteurs de la terre étaient incapables de continuer le combat plus longtemps. Les chevaliers d’Athéna furent forcés de se replier au Sanctuaire, quittant le champ de bataille. Les chevaliers des Gémeaux, de la Vierge et du Bélier transportèrent les vingt-six chevaliers survivants et Athéna jusqu’au domaine sacré, alors que les combats étaient perdus pour eux. Seulement, les quatre cavaliers de l’Apocalypse n’étaient pas prêts à les laissés fuir.

Arès n’allait pas laisser son ennemie lui filer entre les doigts. Réalisant que le Sanctuaire de cette dernière se trouvait à présent dans une autre dimension, il créât un passage de force à travers l’espace-temps pour poursuivre l’armée d’Athéna. Les trois chevaliers d’or qui avaient permis l’évacuation des forces d’Athéna comprirent qu’il leur fallait assurer les arrières de leurs compagnons. Ils se confrontèrent aux cavaliers d’Arès, alors que toute l’armée de Berserkers fonçait droit vers eux. Il n’était plus question pour les chevaliers, de remporter le combat, mais d’offrir une chance de victoire à Athéna. C’est dans ce but, que le chevalier de la Vierge, aidé de celui du Bélier, envoya les quatre cavaliers dans les confins des six mondes de la métempsycose. Le cavalier de la conquête fut envoyé dans le monde des bêtes et celui de la guerre fut envoyé sur Azura, le monde des combats sans fin. Le cavalier de la famine fut envoyé dans l’enfer de la famine et celui de la mort fut envoyé dans le monde de l’Enfer. Dans une violente explosion de lumière, les quatre guerriers immortels disparurent.

Les quatre cavaliers avaient finalement été vaincus, mais les trois chevaliers n’étaient pas sortis d’affaire. Arès en personne leur faisait dès à présent face, alors que tous se trouvaient au cœur d’un couloir dimensionnel, reliant le monde réel et le Sanctuaire.

Projetant sa lance, le dieu de la guerre transperça l’armure d’or de la Vierge à l’emplacement du cœur, alors que celui-ci s’efforçait de dresser une barrière entre le dieu et les trois chevaliers d’or. A présent, Déimos lui-même était de retour aux côtés du dieu de la Guerre, dont la lance quitta le corps inerte du chevalier de la Vierge pour revenir dans sa main. Arès voyait le désespoir commencer à apparaître dans les yeux de ses ennemis, renforçant son désir de les éliminer l’un après l’autre. Déimos ouvrit l’hyperdimension, l’espace réservé aux dieux où nul mortel ne peut pénétrer. Peu à peu, cette étrange dimension engloutit celle dans laquelle se déroulait le combat. Le chevalier des Gémeaux lui-même ne savait comment s’extirper de cet espace, la pression y devenait si forte qu’il ne pouvait permuter dans une autre dimension. Les chevaliers d’or ne durent leur salut qu’à l’apparition soudaine du sceptre de Niké devant eux, qui les transporta jusqu’au Sanctuaire. Brisant le passage entre Arès et son domaine, Athéna n’eut d’autre choix que de ramener son Sanctuaire dans sa dimension d’origine, de l’autre côté du pont sacré. En un éclair, la mer fut secouée par des flashs lumineux. L’île d’Athéna réapparut soudainement dans la mer Egée, laissant derrière elle un dieu de la guerre fou de rage que sa victoire lui ai été ainsi dérobée.

A la fin de cette bataille, la plus meurtrière depuis des siècles, les forces d’Athéna se trouvaient anéanties et épuisées. Les armures de bronze et d’argent étaient dans un état déplorable, catastrophique. La moitié des protections étaient mortes, et celles qui avaient survécu n’étaient plus en état de combattre.

Chapitre 7 : Une mission vitale pour la guerre



Au vu de l’état de son armée, Athéna envoya le chevalier d’argent du Serpentaire ainsi que deux chevaliers de bronze à  Jamir afin de ramener les réparateurs, descendants de l’antique continent de Mu, au Sanctuaire. Le nombre de protections endommagé était devenu tel que mener toutes les armures à Jamir semblait impossible. Les trois envoyés du Sanctuaire se mirent donc en route afin de délivrer le message aux habitants de l’Himalaya.

Cependant, arrivés aux pieds des montagnes, un étrange cosmos se dégagea des profondeurs de la terre. Les parois escarpées de la montagne tremblaient devant l’immense énergie qui se dégageait non pas de la montagne, mais provenant des profondeurs terrestres. Se retrouvant devant une armée de cadavres, les trois chevaliers comprirent que les défenses de Jamir n’étaient pas responsables de l’arrivée de tous ces guerriers… Des centaines de squelettes se levaient peu à peu, la plupart recouverts par la neige et la glace. Ils encerclèrent les trois chevaliers par millier. Ces derniers durent se confronter à cette armée que nul n’attendait.

Pendant ce temps, au Sanctuaire, au pied de sa statue, Athéna concentrait son cosmos pour observer l’avancé de ses chevaliers. Inquiète d’une attaque soudaine alors que ses forces ne sont pas rétablies, elle remarque alors qu’une étrange énergie lui bloque l’accès aux montagnes de Jamir. Quelque chose ou quelqu’un cherche à lui cacher la situation sur place. Recouverte d’un voile mystérieux, toute la région de Jamir était devenue invisible pour elle. Et, alors que le Sanctuaire se trouve au plus mal, un visiteur retrouve Arès au cœur de sa forteresse.

Là, dans les profondeurs de la citadelle rouge, un lieu où nul n’a accès, un sombre visiteur vient à la rencontre du dieu de la guerre. Venant des profondeurs infernales, le dieu des Enfers informa Arès de l’arrivée des Chevalier dans l’Himalaya. C’était une occasion à ne pas manquer, la défaite de ces derniers causerait celle d’Athéna ! Pour la première fois dans cette guerre, le dieu des Enfers et celui de la guerre se sont alliés. Hadès s’occupa de stopper l’avancer des chevaliers d’Athéna à Jamir et de les entraîner dans les doigts glacés de l’oubli. Il est dit que pour sceller leur alliance éternelle, Arès promis à Hadès l’âme de son Berserker le plus talentueux pour réparer les cuirasses endommagées : Muramasa du Nodashi, l’un des derniers survivants du régiment de la calamité, le créateur des cuirasses des Berserkers.

Jamir est une région entouré de mystère. D’étranges évènements attendent ceux qui tentent d’en franchir les montagnes. De nombreuses protections sont dressés, des défenses impénétrables pour le commun des mortels et des pièges si dangereux que rare sont ceux qui parviennent à les éviter. Entourées par un voile de légende, les chevaliers sont malgré tout au fait du danger qui les attend s’ils s’y rendent. Une illusion située à un point stratégique de la montagne fait, dit-on, apparaître des chevaliers morts pour défendre l’entrée de la tour où sont réparées les armures. Mais cette fois, même le chevalier de bronze du Burin, qui a vécu dans cette région, ne pouvait expliquer la présence de cette armée de mort. Pire encore, il ne s’agissait pas là d’une illusion, mais de véritables cadavres animés par un cosmos bien plus puissant que celui des chevaliers d’or. Les morts ne pouvaient être tués, le chevalier de la couronne boréale devait les enfermer dans la glace pour s’en débarrasser. Le nombre de cadavres allait toujours en augmentant et malheureusement, il semblait impossible pour eux de les vaincre tous.

Submergé par le nombre, le chevalier de bronze de la couronne boréale dressa un mur de glace pour ralentir la progression des squelettes, qui continuaient à se lever des profondeurs de la montagne. Le chevalier de bronze se rendit de l’autre côté de son mur de glace et utilisa tout son cosmos pour geler l’armée des mort qui lui faisait face. L’énergie qu’il déploya fut-elle que la vague de froid gela tout sur son passage, y compris celui qui l’avait lancé. Comprenant qu’ils allaient finit de la même manière, le chevalier du Burin les téléporta lui et le chevalier d’argent du Serpentaire, jusqu’à l’entrée de la tour de Jamir.

Cette bataille était gagnée par les chevaliers cette fois, mais le prix à payer était lourd. Les réparateurs de Jamir purent se téléporter jusqu’au Sanctuaire, mais la bataille était loin d’être terminé. Ne pouvant croire que son allié n’a pu arrêter les chevaliers avant qu’il n’atteigne les anciens habitants de Mu, le dieu de la Guerre et son armée se mirent en marche pour le Sanctuaire.

Chapitre 8 : Arès, le dieu de la guerre charge le Sanctuaire



Cette fois, la bataille des dieux allait avoir lieu. Arès et les quarante-quatre Berserkers qu’il lui restait s’étaient mis en marche vers le domaine d’Athéna, accompagnés par le dieu Déimos. Les deux dieux de la guerre le savaient, c’est au Sanctuaire qu’aurait lieu l’ultime bataille. Tous les chevaliers de bronze et d’argent avaient été appelés à défendre l’entrée du Sanctuaire, alors que les chevaliers d’or protégeaient les douze maisons… Les armées d’Arès, ce qu’il en restait, elles, avaient été divisées entre lui et Déimos. Alors que les rayons du soleil perçaient à l’horizon le voile de la nuit, les Berserkers mettaient pieds pour la première fois sur l’île sacrée.

En tout, dix-sept chevaliers de bronze et d’argent défendaient l’entrée du Sanctuaire, et ces guerriers virent arriver de plein fouet l’armée du dieu de la guerre. Recouverts d’un halo de rage et de haine, une aura presque sanglante, les Berserkers avançaient à travers l’île, affrontant les chevaliers d’Athéna. Au cœur du combat, le chevalier de la Coupe se révéla vital pour que se poursuive la bataille. Celui de Percée réussit à transformer cinq Berserkers en pierre avant de se faire détruire son bouclier, pulvérisé par un marteau dévastateur. Enfin, les chevaliers du Gardien du pôle et du cadran solaire tombèrent un à un face à leurs ennemis. La bataille tournait à nouveau à l’avantage des guerriers d’Arès, et les pertes des chevaliers devenaient de plus en plus lourdes. Il était bien triste de constater que des quelques chevaliers qui défendaient encore Athéna, seuls ceux dont l’armure était équipée d’une arme réussissait à résister à la terrible puissance des Berserkers, tous maître dans le maniement de leur arme.

Ne pouvant voir continuer ce massacre déplorable, Athéna et le chevalier de l’autel cédèrent à la demande des chevaliers d’or et autorisèrent trois d’entre eux à rejoindre le champ de bataille. L’arrivé des chevaliers du Bélier, du Capricorne et du Verseau donna un peu de répit aux quelques chevaliers de bronze et d’argent encore en vie. Cependant, Déimos en personne se joignit alors au combat. C’était là ce que le chevalier de l’autel attendait ; et, quittant Athéna, il utilisa le chevalier des gémeaux pour l’envoyer jusqu’au champ de bataille. Le dernier des quatre dieux servant Arès allait alors affronter celui qui commandait alors le Sanctuaire et l’armée d’Athéna, alors qu’on entendait les cris de terreur et de souffrance tout autour des deux adversaires. Les Berserkers d’Arès avaient depuis longtemps enfoncés les portes de Rodorio, le village aux alentours du Sanctuaire. Enfin, de village, il n’avait à présent que le nom. La moitié des habitations étaient en ruine ou en flamme, et les chevaliers peinaient à défendre l’autre moitié.

Le combat fatidique entre Déimos, le dieu de la terreur et le Chevalier de l’Autel eut finalement lieu. Accompagné du chevalier d’or des Gémeaux, le protecteur d’Athéna affronta son ennemi avec acharnement… Mais contrairement à son frère jumeau, Déimos était un dieu prudent, il ne leur laissa aucun répit et sans attendre, il utilisa ses pouvoirs pour tenter de les envoyer dans l’hyperdimension, un domaine réservé aux dieux. Ce fut un échec. Le chevalier d’argent de l’Autel utilisa une technique légendaire remontant à la première guerre sainte : le brasier d’argent. Ces flammes argentées étaient capables de déposséder tout mortel de son cosmos. Cette ultime technique avait été accordée à l’armure de l’autel, dans laquelle ce feu sacré réside. Cependant, cette fois, les flammes n’étaient pas argentées, mais dorées. Ce feu tout-puissant, brûlant d’une chaleur douce et rassurante traversa les chevaliers sans les blesser et atteint directement le dieu de la terreur qui comprit enfin d’où provenaient ces flammes.

Au cœur du Sanctuaire, derrière les 12 maisons et le palais du Grand Pope, la déesse Athéna concentrait tout son cosmos devant sa statue. Le pouvoir de la déesse guerrière alimentait les flammes dorées qui dévoraient le corps d’empreint de Déimos, blessant son âme divine par la même occasion. En voyant ce spectacle surprenant, le dieu de la guerre, Arès, cru voir surgir les flammes éternelles de l’Olympe, celles-là même que Prométhée avait dérobées il y a bien longtemps. Craignant que cette nouvelle arme ne l’atteigne, le dieu de la Guerre pris la lance de l’un de ses Berserkers et l’utilisa pour transpercer le cœur du chevalier de l’autel, d’où le brasier provenait. Déimos, privé de corps, dont l’âme était mise à nu, fut enfermé dans le même coffret que son frère, Phobos, par le chevalier des Gémeaux. Les flammes dorées se dissipèrent, le dernier des généraux d’Arès était tombé, mais… alors que la fumée se dissipait, on pouvait apercevoir les troupes d’Arès, qui avaient atteint la maison du Bélier. De tous les chevaliers qui défendaient l’entrée du Sanctuaire, il n’en restait plus que sept, hors de combat. Ils avaient tous été renvoyé loin du champ de bataille, alors que six chevaliers d’or défendaient les douze maisons, dernier rempart devant Athéna.

Chapitre 9 : Les armes de la Balance



La barrière des douze maisons était devenue inutile, Arès aurait massacré chaque chevalier d’or l’un après l’autre. Pour Athéna, cela n’aurait été qu’un amoncellement de cadavres. Les Berserkers qu’en à eux était moins puissant que les chevaliers d’or, mais leur énergie les rendait presque immortel, même avec la tête tranchée, certains bougeaient encore ! C’est ainsi que la déesse de la guerre autorisa pour la première fois dans la guerre l’usage des armes de la balance par les chevaliers d’or. Ils étaient tous présent devant le temple du Bélier et attendaient les Berserkers et le dieu de la guerre. Les six chevaliers d’or détenaient les armes dans chaque main. La légende veut que ces armes aient le pouvoir de détruire des étoiles, c’est pourquoi leur usage est extrêmement rare. Ces ainsi que la bataille s’engagea entre les chevaliers d’or et les Berserkers d’Arès.

Le dieu de la guerre, lui-même, se trouvait face à face avec les chevaliers de la Balance, du Sagittaire et celui du Verseau, tandis que les trois autres chevaliers d’or combattaient les derniers serviteurs du dieu de la guerre. Ces derniers firent pâle figure face aux armes de la balance. Que ce soit des lances, des épées, des boucliers… Aucune arme de Berserkers ne faisait le poids devant l’avancée des chevaliers d’or. Très vite, les envahisseurs du Sanctuaire succombèrent les uns après les autres, alors que les protecteurs d’Athéna peinaient à retenir la furie du dieu de la Guerre.

Il est dit que le combat opposant Muramasa du Nodashi au chevalier d’or du Cancer fut des plus spectaculaires, mais qu’à la fin, lorsque le trident du pardon transperça le Berserker d’Arès, celui-ci ne tomba pas raide mort comme les autres guerriers du dieu de la guerre. Des profondeurs des ténèbres, le Berserker fut engloutit dans l’obscurité, il disparut. Fidèle à sa parole, le dieu des Enfers emporta le Berserker alors que celui-ci périssait.

Les Berserkers ont enfin été tous vaincus, terrassés par les chevaliers d’or. Mais le pouvoir d’Arès, dieu de la guerre, était tel que même six chevaliers d’or unis ne pouvaient l’égaler. Malgré les armes de la balance, malgré le pouvoir des armures d’or, le dieu de la guerre paraissait invincible. Il était face à eux, dans sa cuirasse divine de dieu guerrier, armé d’une lance à la pointe écarlate et d’un bouclier couvert de sang. Lors d’un assaut particulièrement périlleux, le dieu de la guerre envoya les chevaliers d’or à terre une nouvelle fois, détruisant les armes de la balance qui venaient se fracasser contre son cosmos divin.

Chapitre 10 : Arès contre Athéna, la bataille des dieux



Arès, le dieu guerrier, avait résisté à toutes les attaques des chevaliers d’or. Il avait brisé jusqu’aux armes de la balance, les plus puissantes de toutes les armes fabriquées par des mortels. Même les armures d’or, ces protections ultimes, avaient lourdement souffert de la bataille. Mais, les protecteurs d’Athéna allaient à nouveau se relever. C’était inéluctable, Arès le savait bien. C’était sans doute la seule qualité qu’il admirait chez les chevaliers d’Athéna… Le courage du guerrier, la conviction d’aller au bout du combat, jusqu’à la victoire, c’était là une qualité que le dieu de la guerre appréciait particulièrement. Afin de les vaincre une fois pour toute, il utilisa tout son pouvoir divin. Plantant sa lance dans le sol et concentrant son cosmos, une lance de lumière pourpre tomba du ciel, tel un météore sanguinaire, transperçant les nuages et tout ce qui aurait pu se trouver sur son passage, fonçant droit en direction des chevaliers d’or. L’impact de l’attaque fut dévastateur, la maison du bélier toute entière fut soufflée dans l’explosion, et le tremblement de terre qui s’en suivit secoua jusqu’à la maison de la Balance.

La fumée s’estompa lentement, pourtant une lumière étincelante brilla au travers. Déployant Aegis, son bouclier capable de repousser n’importe quelle attaque, Athéna, la déesse de la guerre, avait protégée ses chevaliers. Revêtue de son armure sacrée, arborant Niké et brandissant Aegis, la déesse guerrière fit face à Arès, un cosmos infini émanant de son corps. Les deux divinités étaient désormais face à face. D’un seul bon, ils s’envolèrent l’un vers l’autre, lance contre sceptre, bouclier contre bouclier. Les coups de lance d’Arès étaient violents et puissants, se fracassant contre Aegis et faisant perdre du terrain à Athéna. La déesse contre-attaquait, de puissants rayons lumineux fendant l’air et frappant le bouclier du dieu de la guerre. Ce combat semblait si puissant que les deux dieux semblaient être hors du temps et de l’espace, rien n’aurait pu les troubler.

Dans une tentative de prendre le dessus, la déesse de la Guerre réussis à transpercer le bouclier d’Arès, recouvrant son sceptre d’un cosmos aussi tranchant qu’une lance. La protection divine se brisa en morceaux, mais le dieu de la guerre, à l’œil aiguisé, plongea dans l’ouverture laissée par Athéna. Le heaume de la déesse vola au loin, un mince filet de sang coulant de son visage. Surprise, celle-ci ne vit pas le coup suivant, Arès réussissant à envoyer le bouclier de la justice dans un tas de gravats, loin de sa propriétaire. Deux dieux guerriers s’affrontaient… la bataille repris de plus belle, la lance de la guerre et le sceptre de Niké s’affrontant dans le fracas des armes. Les deux cosmos divins s’entrechoquaient de telles sortes que l’on pouvait entendre le sol gémir sous leurs coups. Lorsque soudainement Arès se jeta sur Athéna, lance en avant, prêt à transpercée sa rivale, cette dernière déploya un bouclier de lumière contre lequel le dieu de la guerre s’écrasa. Sous la violence du choc, le dieu de la guerre chancela en arrière. La déesse brandit alors Niké et fit s’embraser son cosmos. La lumière qui s’en dégagea illumina le champ de ruine qui entourait les adversaires. Les chevaliers d’or, ressentant l’appel du cosmos d’Athéna, déployèrent leur propre énergie pour l’envoyer jusqu’à leur déesse. Un rayon de cosmos pur s’élança depuis le sceptre d’or, transperçant l’air et l’espace jusqu’à atteindre Arès. Le cosmos chargé d’espoir de la déesse Athéna imprégna l’hôte du dieu de la guerre, tentant de séparer les deux entités. La souffrance que ressentit alors l’âme Arès fut sans commune mesure, brûlée et déchirée de l’intérieur. Incapable de supporter d’avantage le cosmos de sa sœur, l’âme divine du dieu de la guerre est arrachée de son enveloppe charnelle.

Le chevalier d’or des Gémeaux profita de cet instant et utilisa ses pouvoirs pour envoyer le corps qui servit de réceptacle à Arès dans une autre dimension. Fou de rage, l’âme d’Arès ne comptait pas rester ainsi, sans défense, devant Athéna. Mais, alors qu’il tentait de s’enfuir, une barrière de protection encercla le Sanctuaire, piégeant l’âme d’Arès par la même occasion.

Chapitre 11 : La défaite du dieu guerrier



Après que son âme fût arrachée de son enveloppe humaine et précipitée hors de son hôte mortel, Arès se retrouva dos au mur. La guerre avait pourtant débuté en sa faveur, son plan semblait imbattable… Il avait juré de vaincre Athéna. Mais à présent, il se retrouvait seul, face à la déesse de la guerre et ses chevaliers d’or. Même les chevaliers de bronze et d’argent qui avaient été mis hors combat étaient de retour ! Sans réceptacle, il était incapable de contrer sa sœur, et son âme mise à nue était exposée à tout danger. La barrière de la déesse de la guerre l’empêchait de s’échapper, et cette lumière protégeait les chevaliers. Il était incapable de s’emparer d’un nouveau corps ! Jamais il ne pourrait retourner en Olympe après une telle défaite ! Cet échec ne pouvait pas être le siens… La honte aurait raison de lui, il préférait combattre jusqu’au bout, tel un guerrier.
Le chevalier des Gémeaux apporta un objet blanc à la déesse de la guerre, un coffret qui était étrangement familier au dieu guerrier. La situation avait pris une tournure qui ne présageait rien de bon pour Arès. L’âme de celui-ci était encerclée, face à sa sœur, affaiblie... Sans aucun moyen de faire quoi que ce soit pour s’échapper.
A présent, Athéna s’approchait de lui, cet étrange coffret pourpre dans la main gauche... Celui-là même qui retenait déjà Phobos et Déimos ! Lorsque le couvercle se souleva, un cosmos gigantesque se dégagea de l’objet. Une force impitoyable tentait de happer l’âme d’Arès. Affaiblie après son combat contre Athéna, cette puissance lui sembla infinie. Le dieu de la guerre n’avait jamais ressenti une telle pression, il était incapable de résister à son emprise sans corps physique. Athéna se concentrait, usait de toutes les forces à sa disposition afin de mettre fin à cette guerre. Enfin, après toutes ces morts, après tout ce sang versé, la paix semblait à portée de main, la victoire ne lui ferait pas défaut. L’âme d’Arès était sur le point de céder, tout était presque terminé, mais…

Chapitre 12 : Course-poursuite aux portes de l’au-delà !



Alors que le combat touchait à sa fin, que le rideau était sur le point de tomber, que de son armée, seul Arès restait… La déesse de la guerre était sur le point de l’enfermer à tout jamais. Mais soudainement, sans que quiconque ne puisse intervenir, un puissant cosmos se fit ressentir et l’âme du dieu de la guerre fut aspirée dans un portail dimensionnel.

Arès traversa l’hyper-dimension en un instant, et fut recracher par le portail sur la pente de Yomotsu Hirasaka, le passage vers les enfers. Ce lieu, situé entre le monde des vivants et le royaume des ténèbres, était le seuil de la mort, le point de passage pour toutes âmes avant d’atteindre le domaine d’Hadès. Comprenant qui l’avait aidé, Arès se dirigea vers le puis, pour rejoindre le monde des morts. Il se rendit vite compte, que quatre chevaliers, deux d’or et deux d’argent, étaient parvenues à le poursuivre à travers les dimensions, guidés par le cosmos d’Athéna. Le dieu de la guerre ne pouvait croire cela… Comment des vivants avaient pu pénétrer le monde des morts ? Jamais il ne laisserait des humains ou sa sœur venir à bout de lui, hors de question de passer des siècles en cage !

Mais au même instant, un cosmos d’une puissance bien plus grande que celle des deux dieux de la guerre se fit ressentir. La montagne tremblait, elle grondait comme si le puits était sur le point de recracher toutes les âmes des Enfers. Une voix impérieuse se fit alors entendre, résonant dans toutes les directions, semblant provenir des profondeurs de la terre :

-« Qui va-là ?! Serviteurs d’Athéna, qui vous a permis de pénétrer dans mon royaume ? Comment des êtres vivant ont-ils osés se rendre dans le royaume des morts ?! ».

Le cosmos qui entourait à présent les chevaliers semblait aussi sombre que les ténèbres les plus profondes. Leurs corps étaient complètement paralysé, incapable de se mouvoir. Le sol sous leurs pieds se fractura, alors qu’ils étaient prisonniers par cette étrange force dont ils cherchaient encore la source. Arès, lui, jubilait. Ses ennemis allaient périr de la main de la seule divinité qui avait accepté de l’aider dans cette guerre. Il regarda la roche sous leurs pieds s’effondrer, laissant place à un puits sans fond, menant dans les profondeurs des enfers. Les quatre chevaliers furent absorbés par le précipice, engloutis par les ombres. Mais dans un ultime effort, le chevalier d’or des gémeaux perçu le cosmos d’Athéna au loin ; il utilisa ce repère pour permettre aux trois chevaliers qui l’accompagnaient de retourner sur terre. Le chevalier d’or traversait tout juste le passage dimensionnel lorsqu’une entité d’une puissance infinie sortit puits des âmes.

Chapitre 13 : La déclaration de guerre



Après avoir traversé le portail dimensionnel, les quatre chevaliers ayant réchappé à la « bataille » de Yomotsu Hirasaka, furent renvoyés aux côtés de la déesse Athéna. Cette dernière observait le ciel avec inquiétude. Elle ne pouvait croire que LUI allait venir… Alors qu’ils pensaient que tout était enfin terminé, Arès loin de la terre, loin des êtres humains, ils comprirent qu’un cosmos les avait suivis, jusqu’à la surface depuis le monde des morts. Le ciel s’assombrit en un instant, les rayons du soleil furent complètement cachés par les nuages. La force même qui avait tentée de réduire à néant les protecteurs d’Athéna surgi des profondeurs de la terre. La barrière d’Athéna gémit sous la pression d’un cosmos bien plus grand que celui de la déesse de la guerre, elle se fractura. D’un seul coup, le dôme protecteur autour du Sanctuaire vola en éclats. Ressentant cela, Athéna mit genou à terre, foudroyée de douleur et de fatigue, alors que la protection qu’elle maintenait tombait en morceau. Un grondement retentit, et le sol se fendit. D’un mur de flammes, surgis un être qui n’avait rien d’humain. Il portait une armure sombre comme les ténèbres, une épée dans la main droite et un casque dans la main gauche. Enfin, trois paires d’ailes semblaient le porter dans les airs. D’abord étonnée, Athéna se releva lentement et s’avança vers le nouvel arrivant, ordonnant à ses chevaliers de ne pas avancer d’un pas. Les deux personnages se toisèrent, sans faire le moindre geste. Athéna prit alors la parole :

-« Que s’est-il passé sur terre pour que tu sortes des profondeurs de ton royaume, Hadès ?

-Athéna, déesse de la guerre… Toi qui es la cause de tous les maux, toi qui ne cesse de délivrer des guerres saintes, pourquoi avoir apporté le conflit dans mon royaume ? De quel droit as-tu permis à des humains, toujours en vie, de pénétrer dans le domaine des morts ?! Zeus t’a confié la terre, Poséidon a été vaincu dans les océans par ces stupides mortels. Comptes-tu t’en prendre à mes terres à présent ? L’avidité des humains est-elle si insatiable que cela ? »

Les chevaliers ne pouvaient y croire… Sans le cosmos d’Athéna leur intimant de ne rien faire, certain se serraient jetés sur le dieu des enfers pour ces paroles. La déesse de la guerre, en revanche, demeurait impassible, aucune émotion ne transparaissait sur son visage. Elle avança de quelques pas, se retrouvant au bord du précipice, qui séparait les deux divinités. Elle observa silencieusement le dieu des Enfers avant de lui répondre :

-« S’il est vrai que mes chevaliers ont porté les combats jusqu’en ton domaine Hadès, tu sembles oublié bien des choses… Depuis ma réincarnation dans cette ère, je n’ai eu de cesse de me poser bien des questions. Comment les géants, ces créatures enfermées dans le Tartare depuis les temps les plus reculé, sous ta garde, ont-ils pu se libérer de leur prison ? Comment ont-ils pu forcer les portes du Tartare, qui ne peuvent s’ouvrir que par une main extérieure ? Pourquoi Arès, qui ne se préoccupait pas de la terre, a soudainement choisi de me livrer bataille ? Toutes ces questions pour en arriver à celle-ci, Hadès : Pourquoi as-tu choisi d’intervenir dans cette guerre et sauvé Arès, toi qui proclame ta neutralité depuis les temps les plus reculés de l’Antiquité ?

-Athéna… tu n’oserais pas insinuer que…

-Hadès, tu es celui qui a fomenté tous ces combats, tu es responsable de tous ces massacres et pire encore, tu as osé libérer les Géants des profondeurs du Tartare ! Rends-toi compte, Encelade est sorti des profondeurs de l’Etna, si Typhon avait réussi à se libérer également, il aurait pu détruire l’Olympe en l’absence de Zeus !

-Comment oses-tu, Athéna ?! De telles paroles venant d’une déesse qui choisit le camp des humains… Quelle insolence, te serais-tu laissé attendrir à force de te fondre au milieu de ces insectes insignifiants ? Toi qui a quitté l’Olympe pour la terre… tu étais la déesse de la guerre autrefois… A présent tu es plus humaine qu’immortelle !

-Tu sous-estimes les humains, Hadès… ne regarde pas de haut ces êtres dont le potentiel est infini… Les émotions humaines, que tu reprouves, sont peut-être la plus grande force qu’il puisse exister ! Nous avons beau être des dieux, cela ne nous donne pas le droit de jouer avec leurs vies et leurs destins !

-Quelle ironie venant de la déesse de la guerre… L’humanité a donc même réussi à te faire tomber aussi bas que cela ! Puisqu’il en est ainsi, et au vu de l’échec d’Arès, je m’occuperais personnellement de l’extermination de la race humaine ! Tu protégeras les Hommes, Athéna… La prochaine fois que nous nous verrons, cela sera sur le champ de bataille ! Et cette fois, cette planète toute entière sera pongée dans la mort et les ténèbres !»

Dans une nouvelle explosion de cosmos, le dieu disparut, la faille dans le sol se refermant à sa suite. Ce n’était pas la fin, la guerre n’était pas terminée. Athéna allait maintenant affronter l’adversaire le plus tenace qu’elle ait pu combattre, celui qui désire la terre bien plus que tous les autres dieux : Hadès, le dieu des enfers.
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Vème siècle : Athéna et Arès, les dieux de la guerre face à face
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